POURTANT L ANNEE DERNIERE IL N AVAIS RIEN DIT IL N ETAIS MEMEPAS IMPRESSIONER PAR CETTE GRANDE BABE BLANCHE MAIS CETTE ANNEE L HISTOIRE N EST PAS LA MEME LA PREUVE EN IMAGE
MON NOUNOURS ACHETER AU MARCHE DE NOEL IL S APPALLE PETER
SALLE DE JEUX PRESQUE TERMINER
Jim Carrey a dû se mettre dans l’esprit des fêtes plus tôt cette année. Non seulement tient-il la vedette dans Un Conte de Noël, un tout nouveau film d’animation basé sur l’histoire centenaire du romancier anglais Charles Dickens, mais l’acteur a également accepté de déguster une dinde farcie avec plusieurs journalistes pour discuter de son expérience fascinante, un peu plus de sept semaines avant que le gros bonhomme rouge ne grimpe à bord de son traîneau.
«Je déteste Noël!» raconte d’entrée de jeu Jim Carrey. «Je suis certainement le seul acteur à Hollywood qui déteste cette célébration, et c’est sans aucun doute pour cette raison que c’est toujours moi qui est engagé pour ce genre de films» raconte à la blague l’acteur qui avait personnifié le terrible bonhomme vert dans le film Le Grincheux en 2000.
Un film d’animation révolutionnaire
Pour Un Conte de Noël, Jim Carrey a non seulement prêté sa voix à Ebenezer Scrooge, mais il donne aussi la vie à six autres personnages: «Contrairement à la croyance populaire, jouer dans un dessin animé comme celui-là, surtout avec les nouvelles technologies, permet aux acteurs de s’épanouir à travers une performance complète, tout comme dans un film conventionnel» explique Carrey. «C’est tout comme si le réalisateur manipulait des marionnettes».
La magie, la vision et la technologie de capture de mouvements révolutionnaire, adaptée par le réalisateur Robert Zemeckis, donne une toute nouvelle direction au monde de l’animation. Pas surprenant que vous reconnaîtrez les traits, les mimiques et les expressions faciales de Carrey dans tous les personnages qu’il incarne: «Lorsque j’ai vu à quoi je ressemblais à l’écran pour la première fois, j’ai tout de suite pensé à ma famille qui allait complètement perdre la tête à voir la ressemblance entre Scrooge et mon propre père. C’est complètement hallucinant d’avoir ce regard vers le futur » explique Jim. L’émotion traduite par le réalisme des personnages fait la fierté des artisans de Un Conte de Noël.
Une histoire intemporelle
Lorsqu’on demande à Jim Carrey de donner ses impressions sur les répercussions modernes d’une histoire aussi intemporelle que Un conte de Noël, publiée pour la première fois en 1843, l’acteur canadien s’explique par une courte analyse: «Je crois que Scrooge est un homme abandonné. Je crois que les personnes à qui il faut le plus porter attention dans le monde sont ceux qui sont mal-aimés. Je pense aussi que l’histoire de Dickens nous a forcé, depuis des décennies, à réorienter nos priorités vers des sources de joie et de bonheur moins futiles que l’argent et le succès. C’est une histoire de rédemption qui, sans aucun doute, touche les gens à plusieurs degrés.»
Le plus grand défi des acteurs
À en juger par son curriculum, Jim Carrey est sans doute un des acteurs hollywoodien les plus prolifiques de sa génération. Malgré son statut de super star, l’acteur de 47 ans admet qu’il éprouve toujours un malaise étrange à jouer la comédie: «Jouer est pour moi un divin mécontentement. Je n’ai pas d’autres mots pour décrire mon état d’âme. Souvent, lorsque je crois que j’ai bien réussi une scène et que je suis fier de mon travail, c’est rarement cette prise qui sera gardée au montage final. Je me retrouve parfois dans un état où je suis trop sûr de moi. C’est alors très difficile de connaître les limites de mon talent. Je sais que je suis toujours professionnel dans mes démarches, mais je me sens toujours très inconfortable face à mes performances.»
Robin Wright Penn, celle qui partage la vedette avec Carrey en interprétant les rôles de Belle et de Fan, raconte aussi son inconfort: «Jouer, c’est de la torture. C’est une belle torture qui finit toujours par nous pousser à faire plus de films. Je veux toujours atteindre un but que je ne toucherai jamais. C’est un peu comme tomber en amour : on croit qu’on a tout ce qu’il nous faut pour réussir et on se rencontre tout à coup que nos efforts n’ont rien donné, puisqu’au résultat final, rien de ce qu’on croyait être parfait n’entre en ligne de compte.»
Alors que son personnage d’Ebenezer Scrooge est hanté par trois fantômes qui tenteront de changer les traits de sa personnalité rendant sa vie misérable, Jim Carrey raconte que, quant à lui, il aimerait bien se débarrasser momentanément de la sienne: «J’aimerais bien me défaire de ma personnalité. Je crois que la paix repose dans une dimension qui dépasse celle de la personnalité. C’est justement à quoi j’aspire dans ma vie. Je veux me retrouver plus souvent dans des moments où je n’ai pas à me soucier de qui je suis.»
Un Conte de Noël, réalisé par Robert Zemeckis et mettant en vedette Jim Carrey, Robin Wright Penn et Bob Hoskins, prend l’affiche le 6 novembre prochain partout au Québec. Plusieurs salles IMAX présenteront le film en 3D.
1. mamiedu34 le 05-12-2009 à 18:02:43 (site)
bonjour Jessy
comment vas tu ainsi que bb Ilan bien je l'espère moi je vais bien du moins j'essaie mais pas grave que temps fait-il à Toulouse ici il fait gris mais sans pluie ni trop froid, je te souhaite une bonne soirée
te fais de gros bisous ainsi qu'a bb d'amour
mamie Eve
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